Comment peut-on optimiser l’accompagnement des femmes entrepreneurs et des repreneurs d’entreprises ?
Publié le 4 mars 2015–Mis à jour le 28 mars 2015
L’entrepreneuriat des femmes demeure à un faible niveau en France et la reprise d’entreprises commence à intéresser à la fois les pouvoirs publics et les chercheurs.
Ces deux réserves de créateurs de valeurs nouvelles ou d’évitement de disparition de valeurs existantes, doivent être mieux connues et stimulées pour provoquer le passage à l’acte. Une des voies pour accroître, d’une part, la part des femmes au sein de l’entrepreneuriat et, d’autre part, la réussite des reprises d’entreprises, notamment par des tiers, est l’accompagnement.
L’article propose un examen de l’existant en la matière et une réflexion destinée à augmenter la performance des organismes d’aide des femmes ayant l’intention de créer et à favoriser le suivi des phases les plus cruciales de la reprise dont, plus spécialement, la phase de cohabitation du repreneur avec le cédant. Une formalisation dans les deux cas retenus est proposée en fin d’analyse.